lundi 17 décembre 2012

lundi 10 décembre 2012

Dernière heure!

 
Hélène est victime de harcèlement et d’intimidation à son école. Elle trouve alors refuge dans le monde de Jane Eyre, le premier roman de Charlotte Brontë. Jane, le renard et moi est un récit touchant qui présente avec justesse la méchanceté que les enfants peuvent déployer l’une envers l’autre. Au texte brûlant d’actualité de Fanny Britt s’ajoute le travail d’illustration d’Isabelle Arsenault : moderne et sensible, utilisant la couleur de façon surprenante, son dessin se révèle exceptionnel. Pour leur première incursion dans la bande dessinée, les deux auteures réalisent une œuvre parfaite. (Source : La Pastèque)
 
Isabelle Arsenault
Isabelle Arsenault est une illustratrice formée en Design graphique à l'Université du Québec à Montréal (2001). Elle collabore ensuite rapidement à plusieurs magazines au Canada et aux États-Unis. En 2004, elle illustre son premier livre pour enfants qui remportera l'année suivante le prestigieux Prix du Gouverneur général dans la catégorie illustration jeunesse de langue française ("Le coeur de Monsieur Gauguin"). Sa passion pour les livres illustrés la mènera à s'orienter davantage dans cette voie. Depuis, elle a été finaliste à deux reprises pour les Prix GG ("My letter to the world", "Migrant"), finaliste en 2011 pour le prix Marilyn Baillie ("Spork") et son livre "Migrant" se retrouve parmi la liste des 10 meilleurs livres illustrés de l'année 2011 du New York Times. En 2012, en remporte son deuxième Prix Littéraire du Gouverneur Général pour les illustrations du livre "Virginia Wolf" ainsi que le Prix jeunesse des libraires du Québec pour "Fourchon".
Isabelle aime travailler de façon intuitive, s'inspirant des projets qu'on lui propose pour établir son approche graphique. Son style est empreint de sensibilité et de finesse. Il accroche autant le regard du jeune public que celui des plus âgés qui eux, pourront y percevoir parfois un deuxième niveau de lecture. Isabelle Arsenault travaille et vit à Montréal. (Source : http://www.isabellearsenault.com/)

Fanny Britt
Originaire d’Abitibi, Fanny Britt a grandi à Montréal. Après sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada en écriture dramatique, en 2001, elle se met à la traduction (une vingtaine de pièces traduites à ce jour, dont des pièces de Martin McDonagh, John Mighton, Neil LaBute et Dennis Kelly) et à l’écriture. La création de sa première pièce, Honey Pie, en 2003 à Espace Libre, marque sa rencontre artistique avec Claude Poissant. Ils se retrouveront à l’automne 2006, quand le Théâtre PÀP et La Bordée produiront sa pièce Couche avec moi (c’est l’hiver), dans une mise en scène de Geoffrey Gaquère. Plus récemment, dans le cadre de sa résidence au Théâtre d’Aujourd’hui, ses pièces Hôtel Pacifique et Enquête sur le pire ont été créées à la salle Jean-Claude-Germain, respectivement en mars 2009 et en avril 2010, dans une mise en scène de Geoffrey Gaquère. Sa pièce Chaque jour, mise en scène par Denis Bernard, ouvrait la saison de la nouvelle Licorne en octobre 2011.
En 2012 sa toute nouvelle pièce Bienveillance, mise en scène par Claude Poissant et créée à Carleton sur Mer, est incontestablement l’un des succès de la rentrée théâtrale montréalaise et sera présentée en tournée en 2013.
Novembre 2012 marque la sortie en librairie de son récit illustré par Isabelle Arseneault Jane, le renard et moi publié aux Éditions La Pastèque. 2012-10-25 (Source : Association québécoise des auteurs dramatiques)

Lire le billet de Simon Jodoin sur Voir Montréal
http://voir.ca/livres/2012/12/06/fanny-britt-et-isabelle-arsenault-jane-le-renard-et-moi/

et le billet de Marie-Christine Blais sur Cyberpresse
http://www.lapresse.ca/arts/livres/bd-et-livres-jeunesse/201211/02/01-4589663-jane-le-renard-et-moi-la-mechancete-en-tons-de-gris.php

 




mercredi 5 décembre 2012

Deuxième ex-libris Magasin Général



Magasin général - La série L’histoire de Magasin général se déroule dans un village du Québec rural à partir du début des années 40. Elle gravite autour d’un personnage féminin, Marie, veuve avant l’heure et héritière du principal commerce local (le « Magasin général » qui donne son titre au récit), que l’irruption d’un étranger dans la petite communauté va progressivement réconcilier avec le bonheur ; bonheur d’aimer, bonheur d’être aimé(e), mais pas exactement de la manière que l’on pourrait imaginer…

Loisel et Tripp ont concocté ensemble, avec une gourmandise très communicative, une chronique énergétique et très humaine, peuplée de personnages intenses et savoureux. Leur attachement partagé pour le Québec –Loisel y réside, Tripp y a enseigné- a servi de moteur à cette histoire truculente, qui ne ressemble à rien de ce que l’un ou l’autre a publié auparavant. Fondée sur la complémentarité de leurs savoir-faire, leur collaboration porte autant sur le texte que sur le dessin, et se nourrit du meilleur de leurs talents respectifs.

Tome 8 - Les femmes L’hiver, à nouveau. Après que le charleston, ramené de Montréal par Marie, ait déferlé comme une furie sur Notre-Dame-des-Lacs, les hommes ont finalement repris le chemin de la forêt, pour y travailler tout au long de la saison froide. Le calme peut enfin revenir sur le village. Mais rien ne dit que ce soit pour très longtemps… Car Marie, après avoir partagé sa couche avec Ernest et son frère Mathurin, se découvre enceinte, sans trop savoir qui est le père – elle qui s’était toujours pensée stérile ! Pendant ce temps, Réjean, le jeune curé du village, s’est réfugié chez Noël, toujours affairé à la construction de son bateau : il se montre si perturbé par ses interrogations intimes et existentielles qu’il n’est plus en mesure d’assurer son service religieux. Effroi et panique chez les bigotes du village ! On parle même de s’en aller quérir l’évêque ! Car enfin, où donc tout cela va-t-il mener ? Plus de maire, plus de curé, des danses endiablées, des amoureux qui vivent dans le péché et des enfants sans père… N’est-ce pas tout bonnement le signe d’une malédiction lâchée sur Notre-Dame-des-Lacs ? (Source : Casterman)

À l’occasion de la parution de l’avant-dernier tome de la série Magasin Général - Les femmes de Régis Loisel et Jean-Louis Tripp, mis en couleur par François Lapierre et publié chez Casterman, Planète BD avec la complicité des auteurs vous offre un ex-libris gratuit à l’achat de l’album.

Il s’agit du trentième de notre collection et du deuxième signé Loisel et Tripp, le premier tirage étant épuisé.

Comme toujours, le tirage est limité et ne fera l’objet d’aucune réimpression.

Nous vous suggérons de réserver le vôtre sans tarder!

Pour plus d’infos sur la série Magasin Général, rendez-vous sur le site de Casterman.

mardi 27 novembre 2012

Michel Falardeau en dédicace


Amuse-gueules

Au printemps 2008, Hachette Canada lançait un grand concours de bande dessinée. Pour cette cinquième édition, le thème donné était : Bouffe, gastronomie et amuse-gueules.
Voici les six histoires gagnantes de cette année.
Repas d’affaires ou familial, banquet de fête ou de souvenir, quelque soit le menu, manger délie les langues, ça inspire, ça fait rire ou pleurer. On murmure entre deux bouchées, on jase, on postillonne, on avale et on réplique... Voici quelques histoires de bouffe à déguster comme des amuse-gueules...

1er Prix :
Éric Milette au scénario et Maxim Cyr au dessin : Les Foodies.

2e et 3e Prix :
Michel Falardeau au scénario et au dessin : Le cœur aux burgers.
Aurélien Galvan au scénario et au dessin : Le Cupcake.

4e, 5e et 6e Prix :
Cab au scénario et Boum au dessin : Le pain.
Lydia et Julie Fontaine-Ferron au scénario et au dessin : Souvenirs gourmands.
Éric Allard au scénario et Jean Frigault au dessin : Le festin.



French Kiss 1986
« Vous vous z’êtes-tu donnés des bisous ?! »
Lors d’un repas en famille, Lucas, 7 ans, semble embarrassé mais décide tout de même de demander à son père comment il a rencontré maman. D’abord surpris de cette question, les parents vont finalement remonter jusqu'en 1986 pour raconter leur histoire. Une aventure où se mêlent amours de jeunesse et guerre de pirates ! Étienne, leur père, alors âgé de 9 ans, était le capitaine pirate de la rue Beaulieu et avait pour ennemi juré La Grande Rousse, capitaine de la rue Perron, dont faisait partie la petite Marie aux cheveux noirs qu’il aimait en secret...
Avec Lucas et Leïa, nous plongeons dans un récit palpitant qui suit d’abord les traces de Roméo et Juliette pour se retrouver dans l’univers de Peter Pan, avec un capitaine Crochet bien surprenant...
(Source : Glénat Québec)

 

Michel Falardeau

Né en 1979 à Notre-Dame-du-Lac au Québec, Michel Falardeau quitte son village natal à l'âge de 16 ans pour aller étudier les arts au cégep de Sainte-Foy. Voulant approfondir sa première passion, le dessin, il se dirige vers Rivière-du-Loup où il suit une formation en dessin-animé traditionnel. Un an plus tard, diplôme en poche, il est engagé dans une boîte de jeu vidéo où il travaille 4 ans sur divers projets allant de l'animation, au game design (design pour jeux), jusqu'à la direction artistique. Alors que des problèmes financiers forcent l'entreprise à fermer son département d'animation, Michel décide de se réorienter vers la bande-dessinée. Ses raisons: contrôler chaque étape de production. Après un an de vaines tentatives et un web comic (Rocky-Rocket), Michel, dont le but était de trouver un éditeur sur le vieux continent, finit par trouver preneur en Suisse, aux éditions Paquet. En 2005, Mertownville devient sa première série publiée professionnellement. La série connait une fin abrupte en 2007 et Michel part donc à la recherche d'un nouvel éditeur. L'année qui suit, après avoir participé à un collectif, Front-Froid, Dargaud Benelux le signe pour son projet Luck, racontant l'histoire d'un jeune adulte du même nom, maniaque de graffitis, un peu perdu dans la vie. Ce dernier album est prévu pour 2010.
(Texte : Dargaud)

Soyez donc au rendez-vous le samedi 1er décembre dès 13h!

 
http://actu-glenatquebec.blogspot.ca/
http://www.lapresse.ca/arts/livres/bd-et-livres-jeunesse/201210/05/01-4580615-michel-falardeau-jouer-au-pirate.php



vendredi 2 novembre 2012

Lancement




« Une contrée mythique... la Baie du Nord ! Pas un blanc n'y est encore allé... »
Août 1658. Le beau-frère de Radisson décide d'emmener ce dernier à la découverte d'un endroit mythique que les amérindiens appellent La Baie du Nord (Baie d'Hudson). Malgré la reprise de la guerre contre les Iroquois et l'opposition du gouverneur de la Nouvelle-France, les deux explorateurs s'aventurent hors de la colonie. Mais ils devront d'abord traverser le blocus pour rencontrer des tribus qui n'ont encore jamais eu de contact avec l'homme blanc...
Radisson est explorateur, commerçant, aventurier et rebelle. Un homme qui s'adapte à toutes les cultures, mœurs et coutumes, mais en gardant son indépendance et sa liberté. D'après l'autobiographie de Pierre-Esprit Radisson, Les Extraordinaires Aventures d'un coureur des bois.
(Source : Glénat)

Jean-Sébastien Bérubé a étudié au cégep de Rimouski en arts plastiques et obtenu un baccalauréat en arts et design, spécialisation bande dessinée, à l’université du Québec en Outaouais en 2004. Il a publié des illustrations et des bandes dessinées pour plusieurs magazines et éditeurs. Il travaille actuellement sur la série Radisson dont les trois premiers tomes ont été publiés aux éditions Glénat Québec. Radisson est une adaptation en bande dessinée de l’autobiographie du célèbre explorateur Pierre-Esprit Radisson. Jean-Sébastien Bérubé a remporté plusieurs prix lors de concours ou d’événements liés à la bande dessinée dont le prix Réal-Filion, remis par le Festival de la BD francophone du Québec à un auteur pour le meilleur premier album professionnel. Son travail est diffusé dans quatre pays à travers le monde. (Texte et photo de J.-S. Bérubé : CLAC)

Pour visiter le blog de Jean-Sébastien Bérubé : http://berubd.blogspot.ca/

mercredi 10 octobre 2012

Ex-libris Larcenet



Manu Larcenet

Né en 1969 de parents connus (et gentils), Manu Larcenet vit à Vélizy une enfance peinarde — en dehors des crises d'angoisse qui lui gâchent la vie. Vers dix ans, il se lance dans la BD, il en fait tous les jours et il n'arrêtera plus jamais. En 4ème, il crée un groupe punk-rock (nul) avec des copains. À l'âge requis (Larcenet n'est pas très fort sur les dates), il obtient le bac F12 de l'école de Sèvres — un bac qu'on vient de créer quasiment pour lui : très peu d'enseignement général et beaucoup de dessin, architecture, nu, poterie, tapisserie, etc.

Un peu plus tard, il ressort des Arts appliqués avec un BTS d'expression visuelle option "images de communication". Dans le même temps, il donne de plus en plus de concerts avec son groupe.

En 1991, il tente de se faire réformer de manière assez violente, mais ça ne marche pas, et il gagne un séjour en bataillon disciplinaire — une expérience qu'il ne souhaite pas à son pire ennemi. (Quoique.)
Libéré, il emménage dans un squat avec des copains musiciens et se lance à fond dans la musique, tout en continuant de dessiner. Ses dessins passent dans différents journaux de rock.

Sur un coup de tête, il laisse tomber le groupe et reprend des études qu'il laisse tomber aussi parce qu'il intègre Fluide glacial en 1994. Là, il devient à la mode et tout le monde le veut : Spirou, Dupuis, Glénat, etc. C'est la belle vie, les soirées mondaines, l'argent, les filles faciles, les substances interdites...
Dans la foulée, il fonde avec Nicolas Lebedel sa propre boîte d'édition, "Les Rêveurs", où il publie quelques albums autobiographiques qui ne cadrent avec aucune structure.

Vers la fin du XXe siècle (en gros), il rencontre Guy Vidal et sa collection Poisson Pilote encore en gestation. Le courant passe, et il s'installe chez Poisson Pilote avec Trondheim et Les Cosmonautes du futur (2000 - 2004), puis avec son frère Patrice Larcenet et Les Entremondes (2000 - 2001), puis tout seul avec Le Temps de chien (2002), Nic Oumouk et Le Combat ordinaire (2003 – 2008). Ce dernier obtient le prix du meilleur album du Festival d'Angoulême en 2004.

Entre-temps, en juin 2001, il quitte Paris et ses lumières pour la brousse lyonnaise — en gardant Vidal dans son téléphone. Ce virage existentiel notable nous vaut Le Retour à la terre, formidablement scénarisé par son copain Ferri, qui traite de l'exode urbain.

Larcenet a également travaillé d'arrache-pied sur Blast - récit très noir, traitant librement de sa part d'ombre et de sa descente aux enfers. Le premier tome, intitulé Grasse Carcasse, est sorti en 2009 et a remporté le prix des libraires de bandes dessinées en 2010. La suite, L'apocalypse selon Saint Jacky, est parue en avril 2011.

Sinon, tout va bien : il a deux enfants très mignons qui l'occupent énormément — d'où son absence remarquée dans les cocktails mondains— et il traverse une superbe crise de la quarantaine (« tout est vain et je déteste mon prochain ») qu'il relate dans L'Angélus de midi, paru en 2008 aux éditions Les Rêveurs. (Source Dargaud)

Pour voir la bande-annonce de Blast 3
http://www.youtube.com/watch?v=d4k0uDpsAUA

Pour visiter le blogue de Manu Larcenet
http://www.manularcenet.com/blog/

Pour sa bibliographie sur BD Gest
http://www.bedetheque.com/biblio-auteur-457-BD-Larcenet-Manu.html

mardi 14 août 2012

Lancement

Printemps 2012
Depuis de longs mois désormais, le Québec est témoin, spectateur, détracteur ou acteur d’une crise sociale qui, quoi qu’il advienne, a d’ores et déjà marqué son histoire, au même titre que les événements d’octobre 1970.
Initialement portée par un mouvement étudiant sans précédent au Canada – la lutte des carrés rouges contre la hausse des frais de scolarité – catalysée par la Journée de la Terre du 22 avril, cette lutte a pris une valeur et une dimension politiques inédites, après l’adoption par le parlement québecois de la loi spéciale 78 destinée à enrayer le mouvement (dénoncée par l’ONU et Amnesty International) puis l’adoption par le parlement fédéral de la loi C-38 officialisant le retrait du pays du Protocole de Kyoto.
Après des mois de manifestations quotidiennes, d’initiatives en tous genres, un collectif artistique est né : Je me souviendrai.

Journalistes, auteurs, illustrateurs, penseurs et musiciens ont répondu à cet appel pour donner une voix emplie d’optimisme et de promesses à ce « printemps québecois », à ces indignés du Nouveau Monde qui se sont levés pour dire non. Un ouvrage optimiste, destiné à ouvrir le dialogue et à tendre la main vers ceux qui souhaitent comprendre ce conflit. Un ouvrage conçu dans l’urgence qui a pour vocation de réunir une partie des initiatives qui ont marqué cette période de bouleversement. Dans une société où l’information est aussi vite lue qu’oubliée, le collectif prend le temps de revenir sur quelques uns des témoignages les plus marquants de ce printemps de contestation grâce à des supports d’expression multiples : textes, photos, illustrations, bandes dessinées, paroles de chansons.

Un ouvrage dont les droits d’auteur seront redistribués à des associations militantes (Asso pour une Solidarité Syndicale Etudiante et Amnesty International).




les Auteurs

Ce livre est né à l’initiative de Soulman, auteur français installé au Québec depuis plus de 5 ans.

Il implique nombre de journalistes et penseurs québécois (Normand Baillargeon, Hugo Latulippe, Stéphane Laporte, Léa Clermont-Dion, Laure Waridel, Éric Pineault, etc.), de réalisateurs, photographes, comédiens et metteurs en scène (Samuel Matteau, Adib Alkhalidey, Frédéric Dubois), d’auteurs de BD québécois (Jimmy Beaulieu, Paul Bordeleau, Michel Falardeau, Philippe Girard, Fred Jourdain, Francis Desharnais, Antoine Corriveau, etc.) mais aussi français (Maximilien Le Roy, Clément Baloup, Soulman, Jérôme D’Aviau, Johanna Schipper).

L’ouvrage a également reçu le soutien du metteur en scène Dominic Champagne, du musicien Nicolas Pellerin et de nombreux autres artistes Québécois.

jeudi 26 juillet 2012

Jason en dédicace

De son vrai nom John Ame Sæterøy, Jason réalise à l'âge de 12 ans sa première histoire dessinée après avoir découvert l'un des nombreux albums cultes de Tintin. A 15 ans, il propose déjà des strips qu'il parvient à vendre à un magazine humoristique norvégien. Une grande victoire pour ce jeune dessinateur ! Evidemment, l'argent gagné est immédiatement réinvesti en BD. Il fait alors une école d'art à Oslo. Mais s'il veut faire carrière dans la BD avec un style franco-belge, la Norvège n'en est pas grande fan. Réalisant dès lors que seule une poignée d'auteurs est capable de vivre de ses pinceaux, le jeune homme se diversifie et propose des concepts originaux. Doué pour cela, il accouche de cases larges, claires et dépouillées, comme d'histoires sombres et cyniques. Ses personnages sont représentés par des animaux - chiens, oiseaux, lapins - parfois volontairement difficiles à distinguer. Dans les pays francophones, il est connu des éditions Atrabile chez qui il publie plusieurs de ses albums dont 'Attends', 'Chhht !' ou plus récemment 'Des morts et des vivants'. S'il est par ailleurs édité aux Etats-Unis chez Fantagraphics, l'un des plus grands indépendants, c'est en 2004 qu'il se montre infidèle et se fait publier chez Carabas. En 2006 et 2007, Jason sort 'J' ai tué Adolf Hitler', un album épuré et doté d'un symbolisme percutant, puis publie encore 'Coïncidence', 'Le Secret de la momie', et 'Le Dernier Mousquetaire'. (Source Bédéthèque)
Le style de ses bandes dessinées est caractérisé par un extrême dépouillement des cases, larges et claires. Nombre de ses œuvres sont par ailleurs sans dialogue. Les histoires de Jason sont souvent très sombres, très cyniques. Les personnages sont souvent représentés de manière anthropomorphique par des animaux (des chiens, des oiseaux, des lapins) parfois (volontairement) difficiles à distinguer. (Wikipédia)
Pour en savoir plus sur Jason consultez son blogue http://catswithoutdogs.blogspot.ca/

samedi 7 juillet 2012

Guy Delisle chez Planète BD

Né en 1966 à Québec (Canada), Guy Delisle se passionne enfant pour les classiques de la bande dessinée franco-belge (Astérix, Tintin, Blake et Mortimer, etc.) avec une prédilection particulière pour Lucky Luke de Morris et Goscinny qu’il conservera à l’âge adulte. C’est décidé, il sera donc auteur de bande dessinée ! Mais ce n’est pas chose facile : le marché de la bande dessinée est quasi-inexistant au Québec et aucune école ne forme les dessinateurs en herbe aux subtilités de l’art séquentiel... Qu’à cela ne tienne : Guy Delisle effectue donc un détour par le cinéma d’animation, dont il apprend les bases au Sheridan Collège de Toronto, avant de s’embarquer pour l’Europe en 1988, en quête de débouchés professionnels. C’est le début d’une carrière d’animateur d’une dizaine d’année au cours de laquelle il va travailler avec les plus grands noms de l’animation européenne : après une année passée dans un studio allemand, il rejoint en 1990 la jeune équipe de Folimage à Valence, participant à de nombreuses productions du studio. Déjà friand de voyages, il enseigne l’animation pendant un an à la Réunion avant de réaliser son propre court-métrage, Trois petits chats, en 1994. Ce film lui vaut d’être remarqué par le grand réalisateur Michaël Dudok De Wit, avec lequel il collabore sur Le Moine et le poisson, primé au festival d’Annecy en 1995. Par la suite, Guy Delisle participe à la production de nombreuses séries TV : Papyrus, Les Contes du chat perché et même... La Mouche d’après Lewis Trondheim. C’est son expérience de superviseur de l’animation en Chine sur la série tirée de la BD Papyrus qui lui fournit la matière de Shenzhen, à la fois carnet de voyage et chronique drôlatique d’un animateur confronté au système de production chinois et, plus largement, à une culture impénétrable. Le virus de la bande dessinée s’est en effet à nouveau emparé de Guy, qui publie la plupart de ses travaux à l’Association: outre Shenzhen, citons Aline et les autres, remarquable exercice de style proche de son travail en animation, cité par le Comics Journal parmi les 5 meilleurs albums européens parus en 1999, et suivi en 2001 par Albert et les autres. Dessinant parallèlement la série humoristique Inspecteur Moroni chez Dargaud, l’auteur publie en 2002 Pyongyang, un nouveau récit de voyage lié à son métier d’animateur, cette fois en Corée du nord. Entre le labeur ubuesque de l’animateur dans un studio frisant l’amateurisme et les visites obligatoires dans les monuments à la gloire des tyrans nord-coréens, ce nouveau volume est un témoignage aussi précieux qu’hilarant sur l’un des pays les plus fermés de la planète. Par son regard à la fois acéré et bienveillant sur une culture étrangère, Chroniques birmanes constitue le prolongement de la démarche initiée avec Shenzhen et se présente comme le troisième volet de la série d’ouvrages que Guy Delisle a consacré à ses voyages en Asie. (Texte © Delcourt)


Plus de détails sur la venue de Guy Delisle au Québec sur http://fbdfq.com/


mardi 26 juin 2012

Jack l'Éventreur



NOUS AVONS TOUS EN NOUS UNE PART DE FOLIE QUI NE DEMANDE QU’À ÊTRE LIBÉRÉE

Londres 1888.

Le Mal s’abat sur la capitale européenne, un monstre sanguinaire tue et dépèce des prostitués dans les bas-fonds de Whitechapel, on le surnomme Jack l’Éventreur. À Scotland Yard, l’inspecteur Frederick Abberline et son équipe mènent l’enquête. Entre lettres anonymes, dénonciations calomnieuses, milices qui font la loi et le peu d’indices qu’il recueille au fil de ses virées nocturnes, le commissaire s’égare… D’autant qu’il est secoué par les démons de son passé trouble. George Godley, son assistant, s’interroge sur son supérieur. D’inquiétantes coïncidences l’amènent à penser qu’Abberline est lié à tous ces meurtres… Tous les deux sont-ils prêts à découvrir l’insoutenable vérité ?
Jean-Charles Poupard est un dessinateur et illustrateur, né le 8 décembre 1985.
En 2007, il obtient sa licence d'Arts Plastiques à l'Université de Rennes, avant de rentrer, un an plus tard, à l'école des Arts supérieurs de Pivaut à Nantes. Il y fait la connaissance de Timothée Montaigne, qui eu une importance notable sur son orientation graphique et narrative en Bande dessinée. En avril 2010, alors qu'il lui restait encore un an à faire pour décrocher son diplôme, Jean-Charles est recommandé par Laurent Miny (illustrateur et enseignant à l'école Pivaut) auprès de Jean-Luc Istin, directeur de collection aux éditions Soleil. Trois mois plus tard, il signe son premier album Jack l'éventreur, sur un scénario de François Debois. L'album sort le 16 mai 2012, alors qu'il travaille déjà depuis plusieurs mois au dessin, à la couleur et co-scénarise le deuxième tome de ce diptyque sur Jack l'éventreur. (Source : Soleilprod)

À l'occasion de la sortie de la première partie de Jack l'Éventreur, chez Soleil, Planète BD reçoit

Jean-Charles Poupard en dédicace ce samedi 30 juin dès 14h

Bienvenue!

jeudi 12 avril 2012

Ab Irato - Lancement montréalais du deuxième tome!

Montréal, 2111. Le niveau de l'eau a dramatiquement monté, la population mondiale a chuté de 12 à 3 milliards. Bienvenue dans notre futur.
Les premiers jours de Riel dans la capitale l'ont plongé immédiatement dans la tourmente : la jolie Neve, qu'il venait à peine de rencontrer, a été prise en otage ! Elle et d'autres innocents sont parqués dans le vieux Montréal par des rebelles prêts à tout. Impuissant, révolté lui aussi, Riel ronge son frein… C'est alors qu'il apprend par la police qu'il a été décidé de purger le problème : plus aucune trace, plus aucun témoin, ni rebelles, ni otages…

L'intrigue parfaitement ficelée et le dessin de Thierry Labrosse s'inscrivent dans la plus pure tradition de la BD de science-fiction.

Auteur BD, illustrateur et peintre, Thierry Labrosse vit de son art depuis 20 ans déjà. Ses premières armes il les fait à la fin des années 80 en publicité, se spécialisant tout particulièrement en maquettes de présentation et storyboards couleur. Ce travail servait à vendre les concepts de campagnes publicitaires aux grands décideurs d'entreprises. Assez rapidement il se taille une place de choix dans ce domaine, attirant les plus grandes agences de Montréal à faire appel à ses services.
Au cours des années 90 c'est dans le milieu du dessin animé qu'il concentre ses énergies. Il réalise de nombreux storyboards pour des séries télévisées canadiennes, françaises et américaines. C'est dans cette même décennie qu'il commence une collaboration avec le scénariste Christophe Arleston, scénariste notamment de la série Lanfeust de Troy. Ensemble, ils créeront l'album Bug Hunters ainsi que les cinq premiers tomes de la série Moréa publiés aux éditions Soleil. En dehors de ce parcours professionnel, Thierry Labrosse dessine et peint pour lui-même depuis toujours. (Source : Glénat et http://www.thierrylabrosse.com/)

Planète BD et Hachette Canada vous invite au lancement montréalais du deuxième tome d'Ab Irato
Descente aux enfers, publié chez Vents d'Ouest,

le jeudi 26 avril dès 18h

Un vin d'honneur sera servi. Venez célébrer avec nous!

jeudi 5 avril 2012

Réal Godbout et Pierre Fournier en dédicace!

 
Dessinateur et coscénariste des séries Michel Risque et Red Ketchup, Réal Godbout est né à Montréal en 1951. Atteint dès l’enfance par le virus de la bande dessinée, il commence à dessiner en 1969 après quelques trimestres d’études sans conséquences. C’est au cours des années 1970 que Réal Godbout deviendra l’un des chefs de file de la renaissance de la bande dessinée québécoise, cette période d’effervescence que l’on a souvent appelée « le printemps de la BDQ ». Réal Godbout travaille également comme illustrateur et a produit Outaouais. Il est élu au Temple de la renommée de la bande dessinée canadienne en une série de bandes dessinées pour le magazine Les Débrouillards. Depuis 1999, il enseigne la bande dessinée à l’École multidisciplinaire de l’image de l’Université du Québec en 2009.

Scénariste, dessinateur et ardent promoteur de la bande dessinée québécoise, Pierre Fournier est né à Montréal en 1949. En 1973, il crée le Capitaine Kébec, personnage phare de la BDQ. En 1975, il anime Les Amis du Capitaine Kébec, une émission de télé consacrée à la bande dessinée, la première du genre en Amérique du Nord. Dans les années 80, il travaille pour Marvel Comics. Il collabore pendant quinze ans au magazine Croc, notamment comme coscénariste des aventures de Michel Risque et de Red Ketchup. En 1991, il reçoit le premier prix Albert-Chartier pour sa contribution à la bande dessinée québécoise. Il est intronisé au Temple de la renommée de la bande dessinée canadienne en 2008. Parallèlement à sa carrière en bande dessinée, Pierre Fournier oeuvre comme scénariste à la télévision. Il est également historien, spécialiste de la littérature fantastique et du cinéma d’épouvante et auteur d’un blogue, Frankensteinia, récipiendaire du prestigieux Rondo Award. (Source : La Pastèque)



 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
En état de crise métapsychique, Red Ketchup se met à glisser à travers les âges et à réécrire, à sa manière excessive, l’histoire de l’humanité.
Aidée d’un puissant chaman, Sally Ketchup se lance à la poursuite de son frère basculé hors du temps et totalement hors de contrôle.

Une chasse à l’homme sur fond d’apocalypse temporelle.

Voici enfin le tome 5 de Red Ketchup, jamais publié en album et qui arrive en librairie en même temps que l'intégrale 1 des aventures de notre agent secret préféré.

Planète BD vous invite à rencontrer les auteurs Réal Godbout et Pierre Fournier

le vendredi 20 avril dès 18h

Un ex-libris exclusif vous sera remis gratuitement à l'achat d'un album de la série des Red Ketchup ou de l'intégrale. Réservez-le dès maintenant!

Un vin d'honneur sera servi.

Au plaisir de vous retrouver!


mercredi 14 mars 2012

Roulot et Hénaff en dédicace

LA GRANDE SAGA DE PIRATERIE NOUS LIVRE SON DÉNOUEMENT !
XVIIe siècle, quelque part sur la côte vénézuélienne. Le capitaine Alexander Crown est mort, assassiné dans sa cabine. Dans son testament, c’est à Red, son second, qu’il confie la charge de réunir ses cinq enfants, essaimés au gré d’une vie passée à sillonner les Caraïbes. Un formidable héritage les attend, mais la mission est délicate : ils sont incontrôlables, dangereux, et se détestent tous… autant qu’ils détestaient ce père qui a ruiné leur vie. (source éd.Soleil)

Les auteurs Tristan Roulot et Patrick Hénaff sont de retour en dédicace chez Planète BD


le vendredi 23 mars dès 18h


Un vin d'honneur sera offert. 

Pour en savoir plus sur les auteurs : http://planetebd.blogspot.com/2011/03/le-testament-du-capitaine-crown.html

mercredi 7 mars 2012

Dédicace












Les déboires des deux potes n'en finissent pas. Jean-Seb noie ses échecs sentimentaux dans l'alcool.
Il s'éprend de Natacha, une nana franchement dégueu, pour au final recoucher avec Claire alors qu'il se l'était formellement interdit.
Quant à Jasmin, il s'éclate sur scène avec "Les Doigts Sales", jusqu'à ce que le drummer du groupe le branche.
Même leur chat Legolas finit par s'attirer des ennuis. (Source Delcourt)
Planète BD est heureuse d'acceuillir en dédicace les bédéistes Iris et Zviane,
co-blogueuses et co-auteures de la série L'ostie d'chat chez Delcourt

ce dimanche 11 mars de 13h à 15h.

jeudi 1 mars 2012

Montréal complètement BD!

Montréal complètement BD!

Pour sa toute première édition, le Festival BD de Montréal (FBDM) convie jeunes et moins jeunes, amateurs de découvertes et passionnés incontestés de bandes dessinées dans une ambiance festive stimulée par l’arrivée imminente de l’été. Les 1er, 2 et 3 juin 2012 à l’Espace La Fontaine au parc du même nom, Montréal deviendra complètement BD!

Le Festival BD de Montréal présentera l’univers fascinant du 9e art par le biais d’une programmation diversifiée mettant en vedette des auteurs reconnus tels que Michel Rabagliati (Paul), Delaf et Dubuc (Les Nombrils) et plusieurs autres. Les festivaliers auront la chance de participer gratuitement à des activités impliquant professionnels et amateurs de bandes dessinées.

Vous retrouverez le communiqué de presse officiel ici.

mercredi 8 février 2012