mercredi 16 avril 2014

lundi 14 avril 2014

Rencontre et dédicace!



 
C’est pas facile d’être une fille, c’est avant tout Estelle : une accroc de la mode, du magasinage et particulièrement des chaussures. Estelle partage sa vie avec Charles qui travaille avec elle dans le domaine des jeux vidéo. Malgré cet intérêt commun, Charles a souvent de la difficulté à suivre Estelle dans ses différentes mésaventures. C’est que son goût pour la coquetterie la mène parfois à agir de manière disons… particulière.Armée d’un grand sens de l’observation de ses congénères – femmes et hommes – et d’une bonne dose d’autodérision, Bach signe ici sa première bande dessinée. Bande-annonce: www.vimeo.com/89789570 (Source : Mécanique générale)
 
Bach
Estelle Bachelard, alias Bach, travaille comme illustratrice dans l’industrie du jeu vidéo. Elle a été publiée pour la première fois en 2012 dans le collectif Je me souviendrai. Sa page Facebook est suivie par de nombreux fans. C’est armée d’humour, d’un grand sens de l’observation de ses congénères et d’une bonne dose d’autodérision, qu’elle y diffuse régulièrement des bandes dessinées inspirées de son quotidien. (Texte et photo : Mécanique générale)
 

Cumulus
Un jour où il s’ennuie, un jeune garçon regarde à sa fenêtre et remarque un nuage qui flotte seul dans le ciel. Touché par la situation du nuage qui ressemble étrangement à la sienne, le jeune solitaire commence un dialogue avec le cumulus. Ensemble, ils parcourent le village. Doucement, le garçon se confie au sujet de la séparation de ses parents, de sa solitude, de la vie. Une œuvre touchante qui parle de l’enfance mais qui s’adresse au-delà du jeune âge du personnage, à tous ceux qui ont déjà passé par l’enfance… c’est à dire tout le monde! Bande-annonce:  www.vimeo.com/90047007  (Source : Mécanique générale)  

Guillaume Perreault
À la fin de ses études en design graphique, Guillaume décide d'utiliser l'illustration comme principal outil de travail. Après avoir travaillé dans diverses agences de l'Outaouais et d'Ottawa, il poursuit sa carrière comme pigiste. Sa liste de clients est très diversifiée et inclus l’illustration commerciale, la bande dessinée, l’évènementiel, le matériel éducatif ainsi que l’édition jeunesse. Guillaume participe aussi à divers collectifs et expositions tel que le C9, Toot Zine, Tête de Mickey et le Festival de l'Outaouais Émergent. Crayons, stylo et graphite sont ses principaux outils de travail, l'ordinateur est ensuite utilisé pour retoucher ou colorer si nécessaire seulement. Ses oeuvres sont parfois très simplistes, parfois très chargées et détaillées. Par contre on peut toujours y retrouver un côté ludique et humoristique. Bien que les thèmes varient beaucoup, le but premier de Guillaume est de faire sourire les gens et de partager sa passion du dessin. (Texte et photo http://www.guillaumeperreault.com/bio.php)
 
 
À boire et à manger
Comment cuisiner un lapin à la bière, réaliser des makis de poireaux ou de parfaits cannellonis, commander un café à Paris ? Autour de ces questions existentielles pour tout gastronome qui se respecte, Guillaume Long poursuit son exploration de la cuisine de tous les jours avec un humour omniprésent.

Guillaume Long est né en 1977 à Genève, au pays du chocolat et du fromage. Dès son plus jeune âge, il se passionne pour la cuisine et observe souvent sa mère aux fourneaux, ce qui n'empêche pas son premier pain d'être remplacé in extremis par celui du boulanger sur la table familiale. Diplômé de l'école des beaux-arts de Saint-Étienne en 2002, il obtient l'année suivante le prix Töpffer pour son album « Les sardines sont cuites ». Ensuite, il mitonne plusieurs livres pour petits et grands et travaille pour la presse, toujours entre deux repas. Depuis 2009, ce fin gourmet est un homme comblé puisqu'il marie avec humour cuisine et bande dessinée dans un blog gastronomique hébergé sur le site du journal Le Monde, et savamment intitulé « À boire et à manger ». (Source Gallimard) (Photo : France Inter)

 
 
 




 


mardi 1 avril 2014

Dédicace (S)

Richard Suicide
Né Beaulieu en 1961, Richard Suicide s’est imposé au cours des années 1990 comme l’une des figures majeures de la bande dessinée underground québécoise – aux côtés d’auteurs tels que Julie Doucet, Henriette Valium, Simon Bossé et Siris. En plus de réaliser des strips pour l’hebdomadaire Ici de même que de nombreuses illustrations pour le Montreal Mirror, il a publié une série de fanzines auto­édités et contribué à de nombreux collectifs, dont Comix 2000 à L’Association ainsi que Les démons du hockey chez Glénat Québec. Son livre My Life as a Foot (Conundrum Press) est paru en 2007. Chroniques du Centre-Sud est son second livre en français, dix­-sept ans après Gonades cosmiques.
Chroniques du Centre-Sud, Pow Pow. Installé depuis une vingtaine d’années dans le mythique Centre-Sud de Montréal, Richard Suicide signe enfin la toute première étude anthropologique sérieuse – sous forme de bande dessinée – sur la faune (houblonnée) et la flore (gastrique) du vénérable quartier. Fiches pratiques et graphiques explicatifs à l’appui, l’auteur livre entre deux brosses un portrait touchant de ces éclopés qui se sont enfargés dans la rue Sherbrooke pour ensuite débouler la côte jusqu’à Ontario. Ses semblables, ses frères. (Source : Pow Pow)
Pascal Girard est né à Jonquière en 1981. Dès sa première journée sur les bancs d’école, il commence à remplir de dessins les marges de ses cahiers et agendas. Comme il n’a jamais pu se débarrasser de cette bonne habitude, il a naturellement décidé d’en faire son métier. En 2004, il termine son Baccalauréat interdisciplinaire en arts à l’Université du Québec à Chicoutimi. Depuis, il mène conjointement une carrière d’illustrateur et d’auteur de bandes dessinée. Ses deux premiers livres Dans un cruchon et Nicolas, se sont partagés le prix Réal-Fillion au Festival de la bande dessinée francophone de Québec en 2006. Depuis quelques années, ses travaux paraissent à La Pastèque: Paresse en 2008, Jimmy et le Bigfoot en 2009 et Valentin en 2010. Son dernier livre Conventum, a été publié chez Delcourt dans la collection Shampooing en 2011.
La Collectionneuse,  La Pastèque.
Voici le grand retour du dessinateur névrosé et maladroit! Le pauvre Pascal vient de se faire larguer par sa blonde et squatte une chambre chez un couple d’amis. Indifférent au dessin, en manque de sérotonine, incapable de courir à cause d’une entorse lombaire, il retourne sur les chantiers comme apprenti-ferblantier. Bref, l’heure est au bilan. Pascal a beau faire des plans et vouloir atterrir sur ses pieds, une rencontre fortuite avec une cleptomane de livres transforme notre antihéros en Sherlock Holmes de fortune... (Source : La Pastèque)